Communiqué de la galerie :

Exposition
L’ENERGIE DU VIDE
Claude Tétot & Patrick Lainville

Nous vous invitons à découvrir la nouvelle exposition L’Energie du vide qui réunit les oeuvres récentes du peintre Claude Tétot et du sculpteur Patrick Lainville.

Nous serons très heureux de vous recevoir :

Au vernissage
Jeudi 10 mars
de 18h à 21h

au 18 rue Séguier 75006
fond de cour à droite au rez de chaussée

S’inscrire au vernissage ou prendre rendez-vous : contact@amelie-paris.com

Nous vous accueillons également sur rendez-vous
du lundi au samedi de 9h à 19h,
du 10 au 24 mars

contact@amelie-paris.com
+33 7 56 87 90 68

 

CLAUDE TÉTOT

Maître d’une expression éclectique diffusant de l’énergie vitale dans un accord de désaccords, Claude Tétot développe une œuvre singulière abstraite qui tend à rendre visible ‘le plein du vide’, ce qu’il considère comme l’essence même de la peinture :
« Dans une peinture, l’essentiel n’est pas ce que tu peins mais ce que tu laisses ».
Le blanc, devenu à la fois un fond et une forme, est placé désormais au cœur de son œuvre. Il en résulte une circulation, à première vue déstabilisante, des éléments picturaux multiples, laissant toutefois apparaître une unité énigmatique, un équilibre disharmonieux qui, ainsi, impose une attention du regard, une tension de la perception. C’est un appel de l’artiste pour ses spectateurs à pénétrer librement dans sa peinture pour réfléchir, interpréter et échanger.
Jeongmin Domissy-Lee Docteur en Linguistique, Conseillère en art

PATRICK LAINVILLE

A la recherche du trait juste, tout d’abord par le médium de la gravure puis de la sculpture, Patrick Lainville dessine dans l’espace, armé de sa forge. Sous son marteau, il travaille avec ardeur l’acier en fusion pour venir tracer des courbes, ajuster les droites, chercher une ouverture puis trouver l’équilibre.
On imagine le combat avec la matière, où le geste de l’artiste se confronte à la résistance de l’acier. Dans ses grandes sculptures filaires présentées, la verticalité se déploie puis la ligne change de direction imperceptiblement ou se tord avec justesse. Le regardeur suit cette ligne imprévisible et indéterminée pourtant si sure. Parfois la ligne devient surface, aplat et prend forme. Immenses, massives et pourtant aériennes, dans une certaine tension, ses longues sculptures allient l’espace autour : le vide.
Amélie du Chalard

Nos adresses
Tous les jours sur rendez-vous
18 rue Séguier, 75006 Paris
8 rue Clauzel, 75009 Paris